T25 de Nelson - Mauvaise Graine

Déjà le T25 de Nelson ? Que va-t-il encore faire comme bêtises ? N’a-t-il pas déjà suffisamment tourmenté Julie et le pauvre Floyd ? Le nouvel album de Christophe Bertschy paru en février continue de nous faire rire aux larmes avec de nouveaux gags diaboliques et c’est tant mieux !

Couverture du T25 de Nelson — © Nelson – Christophe Bertschy – Dupuis

Dans ce nouveau tome de Nelson, le petit diable trouve toujours de nouvelles façons d’agacer son entourage. Les fans seront ainsi gâtés en matière de blagues impliquant la rivalité Nelson-Floyd habituelle, le canapé, la télévision et la nourriture, entre autres. L’esprit de Noël est fort présent dans l’album et donne un petit fil rouge à l’ensemble.

Page 3 du T25 de Nelson — © Nelson – Christophe Bertschy – Dupuis

Nelson toujours au premier plan ?

En parallèle, on observe aussi le quotidien parfois difficile du voisin de Julie. Celui-ci n’a vraiment pas de chance, il se retrouve souvent en mauvaise posture devant son boss ou son médecin, mais aussi devant Julie, avec une haleine épouvantable. Apparaissent, en plus de Floyd, quelques chiens et chats de natures diverses, des extraterrestres pas trop méchants, et des figures de la culture pop que Bertschy aime inviter à l’occasion.

Page 4 du T25 de Nelson — © Nelson – Christophe Bertschy – Dupuis

Des gags à l’infini avec le T25 de Nelson

C’est vraiment typique de Christophe Bertschy de faire preuve d’autant d’imagination pour nous servir des albums dont les gags ont toujours la même force qu’au début. Dans un même cadre de base, les situations varient toujours suffisamment pour qu’elles suscitent rire et plaisir chez le lecteur.

Page 5 du T25 de Nelson — © Nelson – Christophe Bertschy – Dupuis

Potache, mais pas que !

Nelson se lit agréablement, avec un rythme et un humour toujours au rendez-vous. Tout est extrêmement lisible, que ce soit le scénario, le dessin ou la couleur. Petits et grands apprécieront toujours autant le comique de situation qu’offre la série Nelson et les idées de pitreries que l’album renferme, surtout en ces temps moroses. Sans oublier les petits mots d’esprit qui s’en dégagent et les gentilles critiques sur certains aspects de notre société.